Sonia Orenga

Difficile de réaliser le départ de Sonia tant Sonia était pleine de vie. Nous venons seulement d'apprendre son décès et n'avons donc pas pu être présents lors de la cérémonie civile. Son absence nous pèse déjà car nous avons passé de si bons moments avec Sonia : elle était notre témoin lorsque nous nous sommes pacsés, Didier était son témoin de mariage, sortie spéléo, moments gourmets, ses 40 ans mémorables et début mars nous avons fait la connaissance de Laurent et avons passé un si bon moment ensemble chez Laure. Sonia était notre boute-en-train, toujours attentionnée et délicate. Nous allons beaucoup la regretter mais son souvenir gardera une place privilégiée dans nos cœurs. Nous avons une immense pensée pour sa famille, Laurent, et tous ses proches pour vous soutenir dans cette épreuve. Didier et Valérie

Toutes mes condoléances à vous tous. Je n’oublierais jamais Sonia c’était une femme en or, je n’oublierais jamais son sourire, sa bonne humeur, son humour, sa générosité. La dernière fois que l’on c’est vu elle m’a dit Edith vous êtes plus que ma coiffeuse, vous êtes exceptionnelle, hé bien je peux dire que pour moi aussi elle était plus qu’une simple cliente. C’était un bonheur pour moi de la coiffer car je savais qu’avec elle j’allais passer un bon moment et quand elle venait avec Laurent c’était beau de les voir tous les deux si complice. Elle était tellement heureuse et épanouie. La vie est parfois injuste mais il faut l’accepter. Courage à tous, elle restera gravée en nous à jamais. Cordialement Edith

C'est Géraldine qui connaissait bien Sonia mais je l'avais croisée à plusieurs reprises depuis 20 ans lors de sorties en famille. Nous avions fait un week-end en Chartreuse avec Eric, Valentin et notre Apolline il y a bien longtemps. Je voudrais témoigner sur un point lié à ses études, avec une anecdote personnelle. Sonia avait choisi de faire un IUT Génie Thermique et Energie (GTE). A une époque où c'était très sélectif, elle n'avait pas pas admise à Grenoble. Motivée, décidée, elle sollicite un entretien avec le responsable de la formation. Nouveau refus. Qu'à cela ne tienne, elle envoie son dossier à un autre département, et ça marche. Ce sera à Monluçon, en Auvergne. Sonia n'était pas du genre à se décourager facilement. Quand elle était résolue, elle fonçait. C'est ce qu'elle a aussi montré quand elle a décidé de reprendre ses études avec le CNAM. Il faut en vouloir pour se remettre à ses études après des années de vie active et pour ouvrir ses livres et ses classeurs après une journée de boulot! Je suis admiratif de la volonté et du courage dont elle a fait preuve dans ses études et dans son travail. Il y a quelques années, elle avait su que j'avais alors la responsabilité du département GTE de Grenoble. Qu'est ce que je n'ai pas pris quand on s'est revu! Un théâtral "Comment va Monsieur le Directeur de Génie Thermique?" avec des courbettes, histoire de bien rigoler comme elle savait si bien le faire. C'était aussi probablement pour extérioriser l'émotion d'un raccourci comme la vie en offre parfois. Après le souvenir de l'échec, certes surpassé, de cet entretien à 18 ans, se retrouver à côtoyer quelques dizaines d'années plus tard le lointain successeur de celui qui lui avait barré la route, mais qui lui avait sans doute aussi permis de devenir plus forte, avait sûrement un petit goût de revanche bien sympathique. Quel chemin parcouru entre les deux! Et cette fois-ci, l’échange arrosé de Clairette et de vin rouge pour la fête de la Saint Sylvestre organisée par Thierry C. à la Mure s’était très bien passé! Rayonnante, vive, énergique, sincère, je suis heureux d’avoir eu la chance de pouvoir croiser Sonia. Pascal R.

Sincères condoléances à toute la famille nous garderons en mémoire les moments passés ensemble Joël et Sylvie content